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Expo (depuis 2016)

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2023

L'atelier «CHŒUR POPULAIRE» rassemble des citoyen·ne·s autour des chants qui parcourent les spectacles de En Cie du Sud.

Les chants abordés permettent aux participant·e·s de chanter, de leur place de spectateur·rice·s et sans obligation, à des moments précis avec les comédien·ne·s. Et ainsi, de créer un réel lien entre l’œuvre théâtrale et les citoyen∙ne∙s. L'atelier est accessible à tou·te·s sans prérequis.

L'atelier CHŒUR POPULAIRE #2 a été réalisé entre le 15 septembre et le 25 novembre 23 autour des chants du spectacle Les Fils de Hasard, Espérance et Bonne Fortune. Il a réuni 120 participant·e·s.

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Le chant est un médium qui permet d’aller à la rencontre d’un large public. Sa transmission est directe, immédiatement communiquée. Il a la capacité de fédérer, car ce sont les sons et les émotions partagées qui importent. C’est pourquoi En Cie du Sud mène depuis plusieurs années des ateliers chant pour rencontrer et sensibiliser son public. Au fur et à mesure, sa méthodologie s’est affinée et les membres de la compagnie ont pris conscience que la richesse des échanges résidait aussi dans le partage d’une représentation d’un de leurs spectacles. Avant cela, elles·ils étaient sollicité·e·s pour mener des ateliers avec pour finalité une «présentation publique» des chants travaillés. Cette obligation de résultat provoquait une sorte de blocage chez les participant·e·s qui ne souhaitaient pas se «produire en public». Dès lors, En Cie du Sud propose des ateliers sans obligation de résultat, mais en lien avec son travail. Il s’agit à la fois de permettre aux participant·e·s de prendre part activement à un projet artistique, mais aussi de rappeler aux artistes qu’elles·ils sont avant tout des citoyen·ne·s.

2022

2021

Les mercredis avec Marco Martiniello (depuis 2017)

Avec le soutien de la Faculté des Sciences Sociales de l’ULiège

2018 - 2019 (2020 reporté)

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2016 - 2017

Les artistes plasticiens depuis 2016

OEUVRES de Michaël Nicolaï
 

Passionné par les arts urbains et par sa ville, Michaël Nicolaï sévit dans plusieurs collectifs de graffeurs. En 2003, le Liégeois né en 76 crée Spray Can Arts, plateforme artistique active dans le secteur des cultures urbaines qu’elle produit et diffuse à l’échelle régionale, nationale et européenne. Michaël Nicolaï s’expose également en galeries « indoor » avec ses propres acryliques sur toile.

 

« Attiré par la mélancolie de lieux délaissés, naturels ou industriels, Michaël Nicolaï aime se laisser porter par la nostalgie qu’ils dégagent. Il campe le décor de machines laborieuses, les inscrit en aplats, esseulées sur une toile dont la palette se réduit à quelques tons uniques. Stylisation, formes contours, produisent l’effet d’un collage vinyle, à mi-chemin entre le tatouage et la décalcomanie, où la peinture acrylique n’est pas sans contribuer à l’effet policé. S’inscrivant dans la lignée d’une image pop renouvelée par les apports de la pub et du graphisme contemporains, la peinture de Michaël Nicolaï produit des images archétypales puissamment signalétiques. » (Cécilia Bezzan)

SPRAY CAN ARTS

Coordination du volet arts visuels de l'événement
 

Spécialisée dans les arts urbains, l’ASBL Spray Can Arts est, depuis 2016, en charge du volet arts visuels de l’événement et, réalise, entre autres, une installation monumentale mise en œuvre à l’aide de matériel provenant des anciens charbonnages Hasard avec la collaboration de la SPI+. Spray Can Arts présentera parallèlement divers évènements artistiques élaborés en lien avec le spectacle et le passé industriel de la région liégeoise : projections de vidéos, expositions de photos et de peinture.

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Collectif Mosa - Urbex avec Didier Pepin et Mayo | Kevin Schonnartz

Collectif Les Débroull’art | Soke du collectif La Cabane | Michaël Nicolaï

CECI N'EST PAS QUE DU PATRIMOINE

www.meta-morphosis.org / info@meta-morphosis.org

 

Durant près d'un an, les artistes de Meta-Morphosis ont exploré le passé du Hasard de Cheratte, visitant et photographiant l'ancienne mine de charbon tout en rencontrant les anciens mineurs et leurs familles. Ce travail de mémoire minutieux est préservé dans un livre, Ceci n'est pas que du Patrimoine (éditions Meta-Morphosis).

 

Artistes : Monk : les portraits street-art / Axel-Ruhomaully & Franck Depaifve : les photos de lieux et d'objets

VALISES

Installation / Claire Renard - Conception et réalisation collective : Claire Renard, Pierre Clément et Loïc Gillet

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– 0.09m3 –

« Ça prend moins de place quand c’est rangé »

– Destins tronqués –

– Prioritaires nécessités –

– Affluence d’espérances –

– Foultitude d’inquiétudes –

– Infinités d’identités –

– 0.079m3 – 0.082m3 – 0.094m3 – 0.081m3 – 0.076m3 –

 « Ça prend moins de place quand c’est rangé »

RETOUR EN CALABRE

BD - Dessin : Stibane - Scénario : Benjamin Fischer

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Présentation de quelques planches. « Retour en Calabre », c’est l’histoire d’une famille italienne à travers le 20ème siècle, entre la Belgique, le sud de l’Italie et New York à l’époque de la prohibition. Le lecteur découvre en même temps qu’Anna les secrets et les événements qui ont marqué le destin de ses ancêtres: crimes, enfants cachés et vendetta sanglante.

DESSINS DE PRESSE de Mauro Biani

www.maurobiani.it

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Mauro Biani est un dessinateur, illustrateur et sculpteur italien. Parmi les fondateurs du magazine de BD Mamma!, il a remporté plusieurs prix, dont celui de l'édition 2011 d'"Un dessin pour l'Europe". Il travaille à Il Manifesto et collabore entre autres avec L'Unità, Il Fatto quotidiano et L'Espresso.

« LE BOUT DU TUNNEL »

Une installation immersive sur la migration (quelques éléments)

(Festival des Solidarités - Namur - Août 2018)

 

En août 2018, le Festival des Solidarités a proposé au public une immersion dans le parcours des migrants. Les visiteurs se fondaient aux images illustrant leur périple Ils foulaient symboliquement le sol (sable) dont émergeait des histoires particulières et des objets anonymes abandonnés en cours de route.

« NIHAT»

BD - Clément Vialard

 

L’histoire de Nihat, jeune turc appelé à venir travailler dans les charbonnages dans les années 1960 ne pouvait que toucher Clément Vialard. Adepte des BD documentaires, selon lui, l’objectif est de saisir l’essentiel d’un témoignage et de faire parler l’image. Réalisé dans le cadre de l’exposition «homomigratus». Présentée à l’espace Saint-Antoine au musée de la vie wallonne d’avril à septembre 2016.

DE CHAIR ET D'ACIER

Photographies - Philippe Grignard

JE ME SOUVIENS DE LA TERRE CHAUVE

Photographies - Sabina Sebastiani

MA FAMILLE OUVRIERE

Installation - Kevin Lopez Lopez

DES VISAGES ET DES MOTS

Photos / La Chambre Patronale des Employeurs permanents des Arts de la Scène F.W.B.

Photos : Gaël Turine / Coordination : Cécile Lecuyer et Edith Bertholet

 

L’action mise en place regroupe des portraits (photo et témoignage) d’individus aux profils très contrastés, mais qui, ensemble, dressent un éventail représentatif de la question de la migration dans sa globalité.

Chaque portrait réalisé représente un aspect particulier de ces trajectoires de vie permettant que la thématique soit abordée dans toute sa diversité et surtout sans généraliser un propos monolithique.

« RECITS DE VIE : DES MIGRANTES SE RACONTENT »

Dessins / Voix De Femmes / IHOES / La Bobine

 

Des femmes d’origines marocaine, kurde et algérienne, habitant majoritairement le quartier de Droixhe, ont suivi les ateliers «Récits de vie» co-animés par le Service d’Insertion Sociale (SIS) de La Bobine et l’Institut d’histoire ouvrière, économique et sociale (IHOES) à partir de 2012. Cette exposition vous convie à découvrir les étapes clefs du projet, à lire et à entendre des extraits des récits collectés, à observer des «objets témoins» de leurs vécus. Elle offre la possibilité de voir des oeuvres réalisées par les participantes en lien avec leurs «trajets» de vie, lors des ateliers artistiques Art & Expression de l’asbl Voix De Femmes menés entre 2013 et 2015.

Cette création aborde l’histoire de l’immigration en partant des témoignages de ses «actrices directes», en récoltant et en valorisant les récits de personnes qui en général laissent peu de traces de leur histoire.

Au-delà des trajectoires individuelles ou familiales, nous sommes aussi parties à la découverte de pages d’histoire collective afin d’échanger sur l’évolution des conditions de migration.

Carnet de bord d'une reprise

par Lola Contessi, ULIEGE - Novembre 17
classe de Nancy Delhalle, Histoire et analyse du théâtre

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Extrait page 5

Mardi 03/10/17 ∙ Répétitions 

 

Le travail de reprise des Fils de Hasard, Espérance et Bonne Fortune a maintenant débuté depuis plusieurs mois. Des répétitions de chants ont d’abord été organisées. Martine de Michele a ensuite convié les acteurs à répéter certaines de leurs scènes avant ces répétitions de chants. Les nouveaux venus dans la pièce, ceux qui ont changé de rôle depuis l’année dernière ou les « jeunes » comédiens sont particulièrement concernés. La metteuse en scène laisse la responsabilité aux « vieux » de se remémorer leur texte et de travailler

seuls leur jeu. Tous les mardis, les acteurs les plus « jeunes » arrivent ainsi au Manège Fonck aux alentours de 17h, après leur journée de travail pour la plupart. Les autres acteurs les rejoignent ensuite progressivement pour répéter les chants à partir de 19h.

Aux environs de 18h, les plus «jeunes» font une pause. La cuisine se remplit petit à petit des acteurs de la compagnie et du doux fumet des plats mitonnés par Valérie Kurevic (alias Coco), Martine de Michele ou Pierre Clément. Martine explique que, depuis la phase de création, la compagnie a pris l’habitude de s’occuper des repas des acteurs. 

Aujourd’hui, les acteurs interprétant la version « jeune » des mineurs (Samir Bakthar, Hugo Pereira de Castro et Gianni La Rocca) répètent leurs principales scènes. En l’absence de David Izri, Renzo Eliseo donne la réplique aux trois autres. Il leur prodigue également des conseils et corrige

leur accent italien. En effet, tous ne parlaient pas italien avant le début du spectacle. Ils ont dû commencer cet apprentissage durant la phase de création de la pièce. Les acteurs maitrisant la langue italienne sont donc les garants de son exactitude, en termes de prononciation comme de grammaire. Martine explique d’ailleurs que dans la compagnie, chacun peut donner son avis. Durant les répétitions, l’ambiance est à la confiance, ce qui permet aux observateurs de rire sans aucune ambiguïté et de donner leur opinion sur le jeu des autres acteurs. Le débat et la transmission font loi...

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